Jérémy Griffaud est un artiste français explorant la question du spectateur dans les réalités hybrides, mixant réel et virtuel. Il utilise des aquarelles scannées, des moteurs de jeux vidéos, des casques VR et des projections monumentales pour créer des environnements immersifs et interactifs. Dans ses installations Enlarge Yourself et The Garden, les visiteurs deviennent performeurs, et l’activation de l’œuvre dépend de leur implication. Il a bénéficié de résidences en Norvège, Pologne et Malaisie.
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Moritz Wehrmann
Moritz Wehrmann est un artiste média allemand. Son œuvre de recherche est conceptuelle, interrogeant le média et sa perception. Il a travaillé à la IKKM(Collège international pour la technique de recherche culturelle et Philosophie des médias) et donne cours à la BU-Weimar ou à HU-Berlin. Il a développé un projet de collaboration à long-terme avec le neurophysiologiste Alain Berthoz (Prof. au Collège de France). Il a participé à de nombreuses expositions, parmis lesquelles Ars Electronica.
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Lilian Hess
Lilian Hess est une artiste et réalisatrice allemande. Elle a fait partie du Collège de la prestigieuse Biennale, de Berlinale Talents et du European Creators Lab. Ses œuvres vont de la photographie, aux films et aux formats immersifs, avec une attention pour la politique du corps et les histoires personnelles. Elles ont été récompensées dans les festivals les plus prestigieux, notamment à la Biennale de Cinéma de Venise, où Duchampiana a été acclamée lors de sa première.
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Boris Labbé
Boris Labbé est un artiste français et réalisateur de films d’animation. Son œuvre, basée sur ses dessins, est hybride, combinant les techniques de l’image numérique animée avec celles, spécifiques, du film d’animation. Ses vidéos de « cinéma étendu », destinées aux salles de cinéma ou prenant la forme d’installations, rompent l’espace spatio-temporel imposé par le cinéma classique. Son travail a été récompensé par les festivals les plus prestigieux, tels La Semaine de la Critique, le festival d’animation d’Annecy et Animafest Zagreb.
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Grégory Lasserre & Anaïs Met den Ancxt
Artistes plasticiens basés à Lyon, Grégory et Anaïs détournent diverses technologies pour créer des œuvres d’art contemporaines. Ils développent la notion d’interactivité, par laquelle l’œuvre existe et évolue grâce aux relations corporelles et sociales des spectateurs. Ils réalisent d’étonnantes hybridations entre technologies et éléments vivants ou naturels.
Leurs œuvres sont présentées dans de nombreux musées, centres d’art contemporains et festivals d’art numérique dans le monde, parmi lesquels la Biennale Internationale d’Art Contemporain de Séville, la Biennale Experimenta (Australie), NAMOC / le musée d’art National de Chine (Pékin).
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Assia MUSITELLI CHABANE
Assia est une artiste passionnée par la performance, la sociologie et l’interaction entre l’expression humaine et la technologie.
Your reflection is (maybe) an illusion (Votre reflet est (peut-être) une illusion) a été exposé aux Bains Numériques 2024, suite à la présentation de son prototype au Lab Recto VRso de la même année.
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Gaël DIDIER
Gaël est un concepteur graphique 3D explorant de nouvelles possibilités dans les espaces physiques et digitaux.
Your reflection is (maybe) an illusion (Votre reflet est (peut-être) une illusion) a été exposé aux Bains Numériques 2024, suite à la présentation de son prototype au Lab Recto VRso de la même année.
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Sam EGAN
Sam est un musicien et artiste digital associant musique, mouvement et visuels pour créer des expériences immersives.
Your reflection is (maybe) an illusion (Votre reflet est (peut-être) une illusion) a été exposé aux Bains Numériques 2024, suite à la présentation de son prototype au Lab Recto VRso de la même année.
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Raphaël Isdant
Raphaël Isdant est artiste, enseignant et designer d’expériences interactives.
Dans son travail, il explore les fragilités de notre époque liées aux instabilités du numérique. Sa pratique fait émerger les territoires sensibles du monde apparent avec celui plus obscur des réseaux. Il réalise notamment un appareil à photographier les fantômes d’animaux éteints d’après la liste rouge de l’UICN, un cœur numérique palpitant au rythme de l’activité sismique, un avatar à la recherche d’une identité sur facebook, une plateforme virtuelle reliant les enfants bulles des hôpitaux, ou encore un oracle sur les relations humaines à partir de twitter.
Depuis 2009, il enseigne la scénarisation de l’interactivité au pôle numérique des Beaux Arts de Paris et dispense régulièrement des workshops en France (UPJV, ECV, EPSAA, EUR ArTec…) et en Asie (SouthEast University à Nanjing en Chine, Université Kun Shan et Shih Chien à Taïwan…).
Avec le studio de création Active Creative Design, il réalise des dispositifs scénographiques innovants, confrontant design et nouvelles technologies pour les musées (Cité des sciences, Palais de la découverte, musée de l’homme…).
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Mélodie Mousset
Mélodie Mousset (* 1981, Abu Dhabi, lives in Zurich) uses her own body to map, index and narrate a “self” that seems to be constantly metamorphosing, eluding her whenever she tries to take possession of it. Mousset is interested in the individual and collective biological, technical and cultural individuation processes that form the human body. These anthropological and philosophical inquiries take the form of videos, sculptures, installations, performances and virtual reality. Appropriating medical imaging technologies (MRI, 3D printing) for these purposes, she ties them into shamanic rites and combines them with sculptural work. Mélodie Mousset’s practice also reflects disturbing developments in the contemporary world we live in: a digital reality that tracks, records and analyses each individual’s movements, consumption behavior and even desires, thereby creating “transparent citizens”. This environment of overexposure is at odds with human bodies, which are alive, opaque, imperfect, filled with organs, psychic interiority and minds with hidden recesses abounding in imagination. As US writer and filmmaker Chris Kraus puts it, “Mousset’s associative process is so rich. She fully believes in her own imagination and the logical or alogical digressions that shape an inner life.”